Froideur d'été (tei Sakura)

Dans les ruelles de la ville, un homme marchait, ou plutôt courrait. En plein jour dans une foule abondante, il se démenait pour essayer de continuer à courir, poussant à son passage certains qui le gênait. Il avait l'air vraiment pressé, et même plus que ça. Disons, effrayé, horrifié. Quelqu'un, ou quelque chose était à sa poursuite. Le suivait derrière lui à une dizaine de mètre, de mystérieuse ombre de chien courant, mais dont on entendait les aboiement. L'homme continue de courir pour finalement s'aventurer dans les quartier pauvre de la ville. Désert en cette journée, l'homme continua d'arpenter les pavé de la villes, fit plusieurs détour dans tout les coins, afin d’apparemment vraiment fuir quelque chose. Mais rien n'est encore fait, car même si il continuer de gravir des mètre et des mètre, ses poursuivant, ces ombres de chien enragé, continuait à grogner...

C'était fini, l'homme à l'air terrifié perdit espoir de continuer de vivre, lorsqu'une ruelle traitre le mena vers une impasse. Les ombres de chien arrivèrent, pour se matérialiser depuis le sol en véritable chiens. Quatre chien noir semblable à des loups, regardait, l'homme prêt à le dévorer. Qu'attendaient-ils ? Ces chiens ? Pour se rassasier ? Soudain alors, on entendit depuis le haut de la ruelle un rire :

"-Oh oh oh"

L'homme regarda le ciel. Akumaro, conseiller royal du roi, s'y trouvait, assis, le regardant. Akumaro sauta alors juste devant l'homme terrifié devant le monstre, dont derrière lui se trouvait toujours les prédateurs aux dents acceré. Akumaro dit à l'homme d'un air amusé :

"-On s'est bien amusé toi et moi, est est temps d'en finir. Rends moi mon compas."

L'homme pris un instant d'hésitation, se racla la gorge tout en restant pétrifié et tremblant devant le monstre, puis n'écoutant que son courage, dans un dernier excès de folie, il sortit alors de sa poche un poignard afin d'essayer de transpercer Akumaro. Le Shaman ne tarda pas à parer le coup en se saisissant du poignet de sa victime avant que le couteau de l'atteigne. Akumaro n'en resta pas à arrêter le coup, il retourna le poignet afin de le briser, puis toujours le saisissant, il continua d'élancer le bras de l'homme afin de le retourner. Un cris de douleurs se fit entendre de la part de l'homme, comme un animal qu'on torturer à abattoir. Aifn d'en finir, Akumaro en profita pour saisir le pied de l'homme et faire comme avec la poigné, retourné le molet, puis la jambe entière. Ceci dans le but pou que l'homme ne puisse plus bouger. Deux membre en moins, la douleurs en plus, Akumaro cherché dans la poche de l'homme son fameux compas avant de finalement le trouver. Un simple compas d'argent, d'aucune valeur pour Akumaro, amis cela lui donnait une excuse pour poursuivre l'homme, le voleur. Regardant une dernière fois l'homme agonisant, Akumaro finissa :

"-Je me suis bien amusé aujourd’hui, en revoir."

Se retirant à l'arrière de ses chiens, ceux-ci attendirent alors quelques secondes, puis foncèrent vers les reste de l'homme agonisant et souffrant afin de l'achever et le manger. Tandis qu'on entendait les cris de desepoir et de douleurs de l'homme, Akumaro, d'un air totalement serein, rigolant légèrement, marcha en direction de la sortit, mais c'est alors que, dans la même rue, quelques mètre plus loin, il sentit dans ce quartier pourtant désert, une présence. Un témoins ? Etrange... Mieux vaut valait-il le chercher, au cas ou, et puis peut-être qu'Akumaro pourra encore s'amuser au passage...

"-Qui est l'être qui me fixe étrangement ? Qu'il se montre, je ne lui ferais spa de mal, oh oh oh"

La jeune poupée de mana était sortie du château du roi Trajan après cette "dispute" qu'il y avait eu entre le mage royal, lui et elle. Elle se souvenait de la dernière phrase qu'il ait prononcé, elle hantait son esprit sans savoir pourquoi. Etait-ce sa programmation qui avait un disfonctionnement? Elle n'en savait rien. Et marchait la tête baissée, regardant les pavés de forme carré.

"Je te rends ta liberté"

A ces mots, son programme se modifia pour qu'elle aille rechercher un nouveau maître, mais aussi son caractère changea, comme si elle était triste d'avoir perdu son maître. Elle aimait être à son service. Elle déhenbula dans les ruelles labyrinthique. Quelques fois, elle s'arrêtait devant une auberge pour chanter une chanson. Ou elle jouait avec des enfants, heureux de l'entendre et curieux de savoir quel était son fonctionnement. Soudain, un vacarme se fit entendre dans une rue un peu plus loin, elle décida de suivre cette piste. Peut-être que la sortie est par la?
Elle suivit un homme courir au loin en marchant. Puis elle entendit l'homme hurler, bien qu'elle ne le voyait pas car elle était toujours dans une autre rue, ne sachant pas si il fallait se montrer ou non.

"Qui est l'être qui me fixe étrangement ? Qu'il se montre, je ne lui ferais spa de mal, oh oh oh"

Elle décida enfin de se montrer. Peut-être était-ce Makhai Bellaque, l'époux de Anakariama Bellaque sa prochaine maîtresse. Elle se montra donc, marchant doucement pieds nus, souriante, les mains jointes. Parlant de sa voix enfantine aux tons mécaniques.

<<Bonjour, êtes-vous Makhai Bellaque?>>