La fuite (Shirayuki/Delaya)

Dans sa chambre d’hôtel, Délheya soufflait un peu allongeait sur son lit. Elle venait de courir a perdre haleine pour échapper a une meute de chiens en colère. De plus elle ne pouvait crée un portail car il y avait trop de monde au fenêtres. Heureusement pour elle les chiens avait fini par se lasser . La jeune femme décida de se donner une petite pose au lac d'Isgard, son refuge. Elle créa rapidement un portai: et disparut a l’intérieur. Elle réapparut sur la rive du lac et comme comité de bienvenu une odeur alléchante de sang humain lui titilla l’odorat.* humm rien de mieux pour me réveiller l'estomac!* Elle se posa en douceur sur l'herbe et observa les alentours: une jeune femme blonde en armure agonisait sous un arbre un peu plus haut, baignant dans son sang. Elle respirait avec peine mais sa ne poser pas de problème a la demi-vampire tout ce qu'elle voulait c'était son sang . Délheya s'accroupit a côté de la blessée et huma avec délice le fumet qui se dégageai de la plaie. Doucement elle se baissa et commença a laper le liquide qui sortait abondamment de son épaule.

Elle qui s'attendait a un nectar sans nom en eut pour ses frais, ce sang-là lui avait un gout de métal totalement écœurant. Délheya eut un haut-le-cœur et recracha tout sur la tête de la jeune femme. Elle s’essuia la bouche et observa celle qui possédait un sang au gout si étrange. Elle avait les yeux fermés, son armure était tachée, et elle saignait abondamment de l'épaule . Un petit vent lui fit relever la tête, il apportait les effluves de plusieurs cadavres plus loin* dommage...j'ai plus faim*. Elle revint sur sa morte, ou du moins morte non car elle respirait encore. Qu'avons donc fait cette femme pour se retrouver dans un état pareil ? Qui était-elle ? était-elle une ennemie ? De toute façon si elle essayait de l'attaquer Délheya lui trancherait la gorge d'un coup de dague, alors bon, pourquoi ne pas la soigner ?

Délheya la débarrassa de son armure tachée qu’elle mit a tremper dans le lac retenue par des branches basses . Doucement elle porta la blessée prés du lac, celle-ci portait une robe toute simple, qui se retrouva a coté de l'armure propre. La demi-elfe lui nettoya sa plaie a l'épaule qui était vraiment profonde et appliqua ses mains dessus. Elle créa un sort guérisseur simple mais suffisamment puissant pour désinfectait la blessure et ressoudait la peau jusqu’à ne laissait aucune trace. Puis elle la porta sur l'herbe au soleil la laissant se sécher doucement. La jeune femme nettoya l'armure et la robe qu'elle étendit sur des branches. Reportant son attention sur la femme blonde( avant elle créa un portail pour chercher son épée et un verre d'eau ^^)tranquillement et la fit boire en lui soutenant la tête. Quand elle eut fini Délheya s'assit sur une branche au-dessus d'elle l'arme prête ( après tout, on sait jamais! )attendant son réveil...

Au levé du soleil...

*flash*

Alexia rêvait. Elle était dans un champ d'une pré verte et plate, dont le soleil abondait le lieux de ses rayon du soleil blanc, celui-ci lumineux. L'air fatigué, elle regardait autour d'elle avec silence et déprime. Elle se demandait au fond d'elle si ce qu'elle ressentait actuellement, n'était pas l'après vie. Était t-elle morte ? Peut-être, après t-on, sait-on jamais, la mort est peut-être un rêve, du moins c'est comme ça que le vit la jeune Shirayuki a cette instant précis. Mais, quoiqu'il en soit, de toute façon, la jeune femme resta immobile. Pas qu'elle le voulait, mais son corps refusait de lui obéir, il était dénue d'uniquement la force d'obeir à son subconscient. Ainsi donc, elle ne pouvait en faite, que s'observait en train de tourner la tête pour regarder le pré, sans qu'elle n'eut à le décider. C'était étrange comme sensation. Ne pas faire obéir son corps, et laissé son corps obéir à lui même. Soudain alors, elle sentit une douleurs à con corps. La jeune femme tomba net, ses force l'avait retrouvé. Cette fois-ci, elle pouvait sentir son corps, ses sensations, ses douleurs. Essayant de se relever, elle aquitta de sa tâche à peine que le paysage changea du tout au tout.

La verte prairies au herbes réfractrice de la lumière du soleil blanc, brula soudain sur tout le champs, transformant ce beau paysage en paysage ver pleine de vie, en un paysage noir, mort, brulé, noircie et volcanique, au ciel orangé et au soleil rouge. Que se passait t-ils Alexia tourna autour d'elle avec frénétisme, au sens affolé. Ce chaos dont elle n'avait le contrôle et dont elle ne pouvait qu'admirer la destruction de ce beau paysage, a remplit d'éveil, d'adrénaline et surtout d'effoie. Soudain, une ombre noir géante sortit d'un trou de lave un peu plus loin. Une ombre géante qui saisi la jeune femme d'un coup vif, et dont la jeune femme ne pouvait se débattre une fois attrapé par ce géant noir, a cause de son imposante taille, se préparant à la manger, la précipitant lentement dans sa bouche aux dent acerés. S'approchant encore et encore, la jeune femme qui se débattait de toute ses forces était sur le point d'être tué à nouveau quand...

*flash*

Elle sursauta, du sol, le regard horrifié. Se réveillant d'un horrible cauchemar. La respiration irrégulière et forte, la transpiration dégoulinante de son visage, les yeux remplie d’extrême désespoir, elle regarda quelques seconde plus tard autour d'elle pour savoir ou elle était. Puis c'est alors, qu'elle se rappela soudain de sa situation, alors que sa respiration commençait à reprendre un rythme normal. Elle vit à côté d'elle une autre femme, au dessus de son regard, sur une branche, l'observant d'un étrange regard. Reprenant son calme petit à petit, elle fit l'hypothèse que celle-ci l'avait sauvé. Elle se rendit compte alors que ses habits n'était pas à leur place, lui laissant que des sous vêtement de l'époque, à savoir une espèce de long T shirt brute de soit. Sa robe et son armure était en train de sécher au coté d'un autre arbre. Elle se releva donc lentement, et se rappela alors de sa blessure. Elle avait mal, mis sa mains sur son épaule puis la regarda, avant de s'apercevoir que sa plaie avait disparue, malgré la douleurs qui restait. Était-ce t-elle, cette femme sur la branche, qui avait fait cet œuvre ?

Elle regarda alors depuis le bas du lac la jeune femme qui était sur la branche en haut, sans sourire, mais avec des yeux indiquant le respect à son interlocutrice, se redressa face à elle, avant de prononcer les mots suivants avec respect et force dans sa voix :

"-Est-ce vous qui m'avez sauvé de la mort jeune dame ? Dans ce cas, je vous en suis reconnaissante. Dit-elle en s'inclinant légèrement en avant devant la dame inconnue, puis en se relevant avant de continuer. Je me présente, je me nomme Alexia Shirayuki, 18 eme descendant du clan des Shirayuki. Et vous, qui êtes vous si je puis me permettre ? J'aimerais connaitre le nom de ma sauveresse, si c'est bien vous évidemment..."

Délheya baissa les yeux vers la jeune femme. Celle-ci s'était relevée et la regardait avec respect :

-Est-ce vous qui m'avez sauvé de la mort jeune dame ? Dans ce cas, je vous en suis reconnaissante. Dit-elle en s'inclinant légèrement en avant devant la dame inconnue, puis en se relevant avant de continuer. Je me présente, je me nomme Alexia Shirayuki, 18 eme descendant du clan des Shirayuki. Et vous, qui êtes vous si je puis me permettre ? J'aimerais connaitre le nom de ma sauveresse, si c'est bien vous évidemment...

Elle parlait avec force et respect ce qui ne déplaisait pas du tout a Délheya. Tranquillement elle sauta sur le sol atterrissant a quatre pattes. Puis elle se releva et épousseta élégamment sa jupe. Toujours sans se presser elle se dirigea vers la robe et l'armure et répondit en marchant :

-Mon nom importe peu chère madame même si je suis honorée que vous ayez décliné votre identité je préfère garder la mienne sécrète pour raison de sécurité vous le comprendrez certainement.Votre robe est sèche vous pouvez l’enfiler cependant je vous déconseille d'endosser votre armure maintenant vous riqueriez d’étouffer avec ce soleil. Quand a votre blessure, continua-t-elle en lui tendant ses vêtements, c'est moi qui les recousus éviter de faire trop d'exercice avec votre épaule. Si vous avez mal c'est les courbatures.
Elle avait parlé sur un ton tranquille mais sec laissant bien entendre qu'elle n'avait sauvée Alexia que par désœuvrement.

Il y a encore quelques heures, dame Shirayuki aurait pu passer sa dernière soiré à chevaucher au grand galop, avant de tomber d'une flèche d'un assaillant d'Akumaro. Son histoire aurait pu s'en arrêté là, définitivement et pour toujours? Mais le coup du hasard fit que cette Alexia était toujours là, vivante, et en pleine convalescence. D'ici quelques heures, elle auras sûrement retrouvé tout ces moyens. Cette épreuve extrême que venait de passer cette jeune femme, aurait pu lui faire poser des question à propos de cela. Mais non. Non esprit était à un tout autre endroit. Son regard était plutôt penché vers le présent. Pas dans le futur, et encore moins dans le passé, en aucun cas dame Shirayuki avait en tête qu'il y avait à peine quelques instant, sa mort aurait pu être prématuré.

Non pas du tout, son esprit était concentré envers la jeune femme qui l'avait sauvé et rien d'autre. Qui était t-elle, que faisait-elle ici, pourquoi l'avait t-elle sauvé ? Toutes ces questions devront un jour trouvé réponse pour la jeune Shirayuki, et justement une petite parcelle allait sûrement lui être révélé après qu'elle ait posé sa questions. Pour y répondre, la jeune femme saute de son arbre d'un bond, atterrissant à quatre pattes tel un animal agile. Puis se relevant, elle se dirigea sans s'imaptienter, vers la robe et l'armure de Shirayuki. Elle prenait son temps, avant de lui répondre, et tout ce que pouvais faire la chevalière, c'était d'attendre poliment et patiemment sa réponse, gardant toujours en observant, son regard sur et affirmé, quoique froid. Finalement, elle répondit, tout en marchant :

- Mon nom importe peu chère madame même si je suis honorée que vous ayez décliné votre identité je préfère garder la mienne sécrète pour raison de sécurité vous le comprendrez certainement.

Voila qui avait encore plus poussé la curiosité de Shirayuki. Pourquoi voulait-elle gardé son identité ? Était-elle recherché elle aussi ? Tout comme la chevalière ? Si oui, encore une autre question qui s'endosse dans cette pile, pourquoi était-elle recherché ? Pourquoi ne pouvait-elle se permettre de lui donner son nom ? Serait-ce... Dangereux pour elle ? Tout en gardant son calme et son regard fières, malgré son travail psychologique, Shirayuki continua de l'écouter attentivement, ne voulant rien manquer de ce qu'elle allait dire :

- Votre robe est sèche vous pouvez l’enfiler cependant je vous déconseille d'endosser votre armure maintenant vous riqueriez d’étouffer avec ce soleil. Quand à votre blessure. C'est moi qui les recousus éviter de faire trop d'exercice avec votre épaule. Si vous avez mal c'est les courbatures.

Shirayuki se ressouvint alors de sa blessure, puis la re regarda. Il était vrai qu'on pouvait encore apercevoir des trace de couture sur sa plaie. Très minutieux comme travail cela. Cette femme avait donc des talents de médecin confirmé, voila qui pouvait à la fois exprimé en elle, beaucoup d’admiration mais aussi de curiosité, qui ne cessait de s'amplifier au gout de Shirayuki. Shirayuki se dirigea en silence gardant son regard fort sur ses vêtement. Enfilant d'abord la robe, elle dit tout en s'habillant d'un ton calme et posé :

- Je vous remercie de votre attention mademoiselle, vous avez pris soins de moi alors que j’était inconsciente. Quoiqu'il en soit, je ne peut resté que silencieuse face à tant de talents devant cette maitrise des soins. Si je peux me permettre, avais vous fait de la médecine ? Ou avez vous appris ?

Finissant de mettre sa robe, la jeune dame pris un bout de son armure. L'armure était lourd, rien que la porter lui ferais mal. mais Shirayuki voulait tout de même la porter. Après tout, elle ne pouvait pas laisser son armure ici, l'armure de son père. Mettant en premier lieu une épaulière à l'endroit ou elle avait été touché, sa douleurs ne put que s'affirmer. Pourtant, Alexia garda encore et encore son regard sur d'elle, ignorant devant son interlocutrice la douleurs.

-Hmmm... Ca va, ce n'est pas si lourd? je peux enfler cette armure... Finit-elle pour l'instant, par un mensonge charismatique pourra t-on qualifier...

La femme était curieuse Délheya le voyait dans ses yeux. Son regard était froid et sur d'elle cependant la jeune femme pouvait sentir la fébrilité, certes très légère, de son interlocutrice.Elle se dirigea vers ses vêtements l'air froid, certain. Une question la tracassait, Délheya allait l'incitai a poser sa question mais celle-ci la devança:
- Je vous remercie de votre attention mademoiselle, vous avez pris soins de moi alors que j’était inconsciente. Quoiqu'il en soit, je ne peut resté que silencieuse face à tant de talents devant cette maitrise des soins. Si je peux me permettre, avais vous fait de la médecine ? Ou avez vous appris ?

Son ton était calme et posé, Délheya se prit a sourire légerment flattée de cette marque d’intérêt. Lorsque la jeune guerrière mit une épaulière la où elle avait été blessée, la demi-elfe remarqua sa crispation. Elle fournissait un effort de concentration incroyable pour ne pas laisser la douleur transparaitre dans son regard.

-Hmmm... Ca va, ce n'est pas si lourd? je peux enfiler cette armure...


Délheya ne comprit pas pourquoi cette femme faisait autant d"efforts pour paraitre courageuse... Elle se posta devant elle et lui enleva le reste de l'armure des mains:


-Allons, allons très chère ! Cessez vos simagrées, vous voyez bien que cette armure vous fait mal alors pourquoi jouer les courageuses quand, pour une fois, on vous donne l'occasion de ne pas l’être ?, dit-elle sur un ton légèrement condescendant. ,La jeune femme se déplaça un peu sur le coté l'armure sur le bras, je vois bien qu'elle compte pour vous, mais occuper vous de vous et ne la mettez pas ! Vous me fairait plaisir. Un petit sourire s'afficher maintenant sur ses lèvres et elle avait parlé de manière a laissait entendre que la guerrière lui inspirait pas mal de pitié...

-Allons, allons très chère ! Cessez vos simagrées, vous voyez bien que cette armure vous fait mal alors pourquoi jouer les courageuses quand, pour une fois, on vous donne l'occasion de ne pas l’être Je vois bien qu'elle compte pour vous, mais occuper vous de vous et ne la mettez pas ! Vous me ferez plaisir.

La jeune dame possédait une incroyable audace. A peine avait-elle terminé de mettre son épaulière, que l'autre lui préleva le reste de l'armure d'une manière vive et véloce, sans que Shirayuki n'eut son mot à dire. Hébétée, la jeune chevalière écouta son interlocutrice pour connaitre les raisons de son actes. Après avoir conter ce qu'elles avait à dire, un petit sourire s'afficha devant son visage. Pourquoi souriait-elle ? Shirayuki faisait si pitié que ça dans cet état ? Restant calme malgré tout de l'extérieur, Shirayuki ne put qu'a l'intérieur n'être que sidéré face à l'aplomb de cette femme. Cependant, elle réfléchit tout de même en son fort intérieurs à ce qu'elle venait de prononcer.

S'occuper de soi.. Qui était-elle pour donner des conseil à Alexia pour lui donner des conseil ? Pour elle, cela se faisait plus passer pour des ordres que des conseil. Que savait-elle ce que dame Shirayuki faisait ? Des simagrée ? Pas pour elle, pour elle, il était important de revêtir de son héritage, un héritage d'un père qui venait après tout de décéder la veille ne l'oublions pas. De ce fait, celui-ci est appliqué qui puisé surtout lorsqu’il s'agit d'une armure et que l'on se retrouve dans un endroit aussi dangereux que celui-ci, et que l'on est une des personnes les plus recherchés du pays. Ces dires venant de cette bouche innocente, avait pourtant fortement vexé et outré Alexia qui malgré tout, garda comme dit précédemment, un tontiné soit peu sa maitrise de soie, afin de ne pas brusqué la personne qui venait de lui sauver la vie, cela aurait été dans le cas contraire, déraisonnable.

Après tout... Peut-être n'était ce pas sa faute. Sa sauveuse ne savait surement tout cela, aussi mieux valait-il être tolérant sur le coup. Restant droite et affirmé sur elle, la jeune femme ne put cependant pas de s'empêcher avant de rétorquer à l'autre dame, de lâcher un petit mais bruyant soupire de sa bouche qui restez malgré tout fermé. Cela pouvait peu-être indiquer un mépris vis à vis de l'action que venait d'effectuer l'autre dame...

- Hmf ! Voila bien un culot bien déconcertant de votre part cher madame. De plus, laissez moi pensez que vous n'êtes pas prudentes. Imaginez si des individus viennent nous attaquer, ce qui n'est pas impossible, comment ferais-je pour me défendre ? Je vous suis reconnaissante de m'avoir sauvé et soigné, mais si vous ne me rendez pas cette armure, je craint bien que cette reconnaissance ne se disparaisse rapidement.