Rencontre avec un le conseillé royal.

Je me remettais lentement de mes blessures suite à ma dernière traque. Les supérieurs de ma guilde m'avaient maintes fois félicités pour ma prestation. Sur ce coup, j'avoue que j'étais très fier de moi. Avec une escouade de soldats, nous avons évincer un groupe de vermines rebelles. Un vampire, 2 lycans et 5 animorphes ont ainsi péris sous les coups de nos lames. Quel joies cela nous avait procuré !
C'était une rude journée. Le soleil faisait bouillir l'atelier. Le héraut suffoquait et avait du mal à me délivrez son message.

-Le...Le seigneur Sujigarano .. désire vous voir, messire Noctibule, haleta-t-il.
-Oh, et bien dite lui que c'est un honneur pour moi.

Il s'en alla en respirant l'air à plein poumon.

-OH ! Classus ! Reprend la caisse, y'a le conseillé qui veut m'voir !

Le conseillé ? Que me voulait-il ? J'étais pourtant dans les temps pour la cargaison mensuel d'armes...Le voyage jusqu'au palais me parut durer une éternité. La chaleur accablante n'épargnait personne. J'imaginais déjà le seigneur et son éventail... Je commençais à m'endormir quand la voiture ( avec des chevaux hein ) s'arrêta. On me fit descendre et on me conduisis jusqu'à mon mandataire. Tout le monde disait qu'il faisait peur, alors que je trouvais qu'il s'agissait d'un homme charmant et agréable. Je fis le salue traditionnel et attendis qu'il prenne la parole.

L'imbécilité allié à la haine fait d'un homme dénue de raison, fait d'un parfait con, aux yeux d'Akumaro, les pièces les plus facilement manipulable, mais aussi les plus efficaces dans un échiquier. Contrairement au rationnel, le con ne réfléchit pas. Il agit. Il ne prend certes peut-être pas les plus bonne décision, mais en tout cas, il fait avancé les choses et fait bouger le monde. Et puis après tout, qu'est-ce que qu'une bonne décision ? Peu importe, ce qui compte c'est que grâce aux cons, Akumaro peut trouver un divertissement et peut-être, un sens à sa vie. Il était temps de récompenser cet imbécile, pour tout l'avancement qu'il avait accomplit et donc aussi, pour avoir amusé et divertir le conseiller royal. Akumaro ne pouvait n'être que fier de cette homme, qui l'aider dans ces projet de chaos destructeurs. De plus même, Akumaro pouvait être fière de sa "création", même si elle est indirect.

Dans une tour d'un chateau, Akumaro attendait en regardant une fenêtre donnant vue à une petite cours extérieur. Là bas, trois petits enfant, deux garçons et une petite fille, âgées d'à peine 7 ans, progéniture sûrement de noble aristocrate résident au chateau, jouait au ballon ensemble et à la marelle avec une cré. Akumaro contemplait ce spectacle, sans dire de commentaire. Attendant patiemment l'arrivé de son invité d'honneur. Il entendit alors des bruit de pas avancer. La porte s'ouvrit, et claqua. Ca y est, Dextra était là. Une grande joie envahit le cœur d'Akumaro. Qui commença alors à compter, debout face à la fenêtre, retourné de Dextra.

"-Vous voyez ces petits enfant dehors ? Ils jouent ensemble dans la plus grande des joies. N'est-il pas mignon voir leur sourire innocent à leur visage ? Je pense que oui, cela l'est. Mais quand on y pense mon chère Ami Dextra, comment peut-on sourire nous les grandes personnes, lorsque l'on sait que de sales créatures et de sale répugnant d'humains encore corrompu par celle-cis, existe en notre monde, menaçant de tuer ces petits enfants...."

Se retournant vers l'homme, Akumaro afficha son rictus à Dextra, le lui imposant. Celui-ci pouvait désormais voir dans la main d'Akumaro, que celui-ci portait une sabre. Du moins, on aurait. Car au dessus se trouvait un draps de soie rouges ancien, qui n'y fit paraitre au sabre que sa silhouette, facilement devinable. Voulait-il donner ce présent à Dextra ?

"- C'est pour cela que vous et moi existons mon ami. Nous devons empêcher toutes ces âmes malsaine de toucher à nos enfants. Et je dois bien l'admettre, les rapport qu'on m'a fait sur vous, décrit un homme doté de cette belle et juste volonté. Vous pouvez être fier de vous, notre royaume peut se sentir rassuré et en sécurité avec vous, malgré ces vermines."

Il finissa :

"-Et vous sinon mon très chère, comment vous porter vous aujoud'hui ? En voyant votre allure, apparemment, la journées a été dure non ?"

Pour le moins que l'on pouvait dire, c'est qu'il savait toucher le coeur des gens... J'aimais cette homme. Sa perversité s'approchait beaucoup de mon bien aimé roi. Il n'y avait rien a dire : nous étions bien gouverné.

-Et bien ma foi, je vous remercie de vous soucier ainsi de mon bien-être. Il me faut bien avouer que cette journée ne m'aide pas vraiment à exercer convenablement mon métier. Mais c'est grâce à mon amour pour ce travail, que je puis continuer ainsi. L'idée même que mes armes soutiennent des honnêtes gens qui vont défendre leur patrie, me remplie de joie. Savoir que de valeureux soldats vont occire de la vermine me permet de supporter cette chaleur accablante.Alors tel mon souverain, je pousse mes hommes à forger avec une ardeur nouvelle. Mais je m'égare. Je ne pense pas que mes divagations au sujet de mon travail vous intéresse vraiment. Mes avis que vous m'avez fait venir pour une chose plus précise. Mes rapports mensuels illustrent bien le travail fourni en matière d'armes ...