Le tour du monde dernière partie [PV: Sadi-chan]
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Le tour du monde dernière partie [PV: Sadi-chan]
Nous avions prit un peu de retard sur le programme en se coltinant la reine de ces affreux elfes. Et ça, Sadi-chan me l'avait bien fait savoir. Elle était devenue irritable et impatiente. Je crus que j'allais y passer quand Gildaron fut en vue.
-Sadi-chan, notre cible est une joillaumage du nom de Hortense. On lui doit notamment la bague des milles fleurs. Il est reconnut comme étant aussi un puissant guerrier. Et une sacrée misandre. Je vois bien que tu es impatiente, alors nous attaquerons aujourd'hui même. L'avantage avec ces idiots de Lycans, c'est que nous n'avons pas besoin de camouflage.
Gildaron était étouffante en journée. Partout des simili-humains se pressaient dans tout les sens. On aurait dit une fourmilière géante. Personne ne nous remarqua. Qui pouvait bien se soucier de deux personnes parfaitement normales vacant à leurs occupations. Hortense s'était acheté une luxurieuse boutique en plein centre-ville. Il nous sera difficile de nous échapper si l'alerte est donnée... DRING !!!
L'intérieur était somptueux. "Je dois bien avouer que c'est très joli. Encore plus quand il y aura son sang sur les murs."
La vendeuse nous adressa un sourire marketing.
-Bonjour et bienvenue à la plus grande joaillerie de tout le pays. Que puis-je pour vous ?
Insupportable.
-Nous désirons voir Hortense en privé. Nous avons... des affaires à conclure.
-Oh ! Très bien suivez-moi.
Nous empruntâmes un escalier en colimaçon. Elle nous laissa devant une porte en bois d'acajou en prenant le soin de nous annoncer. L'atelier était rempli de bagues et de colliers. Parfois d'autres objets à l'utilité encore inconnue.
Hortense:- Oui ? Que puis-je pour vous ?
Je pus à peine ouvrir la bouche que Sadi-chan lui sautait déjà dessus.
-Sadi-chan, notre cible est une joillaumage du nom de Hortense. On lui doit notamment la bague des milles fleurs. Il est reconnut comme étant aussi un puissant guerrier. Et une sacrée misandre. Je vois bien que tu es impatiente, alors nous attaquerons aujourd'hui même. L'avantage avec ces idiots de Lycans, c'est que nous n'avons pas besoin de camouflage.
Gildaron était étouffante en journée. Partout des simili-humains se pressaient dans tout les sens. On aurait dit une fourmilière géante. Personne ne nous remarqua. Qui pouvait bien se soucier de deux personnes parfaitement normales vacant à leurs occupations. Hortense s'était acheté une luxurieuse boutique en plein centre-ville. Il nous sera difficile de nous échapper si l'alerte est donnée... DRING !!!
L'intérieur était somptueux. "Je dois bien avouer que c'est très joli. Encore plus quand il y aura son sang sur les murs."
La vendeuse nous adressa un sourire marketing.
-Bonjour et bienvenue à la plus grande joaillerie de tout le pays. Que puis-je pour vous ?
Insupportable.
-Nous désirons voir Hortense en privé. Nous avons... des affaires à conclure.
-Oh ! Très bien suivez-moi.
Nous empruntâmes un escalier en colimaçon. Elle nous laissa devant une porte en bois d'acajou en prenant le soin de nous annoncer. L'atelier était rempli de bagues et de colliers. Parfois d'autres objets à l'utilité encore inconnue.
Hortense:- Oui ? Que puis-je pour vous ?
Je pus à peine ouvrir la bouche que Sadi-chan lui sautait déjà dessus.
Dernière édition par Dextra Noctibule le Jeu 31 Mai - 21:43, édité 1 fois
Dextra Noctibule- Mort (inactif)
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Re: Le tour du monde dernière partie [PV: Sadi-chan]
- Oui ? Que puis-je pour vous ?
Ma mission n'étant pas de faire dans la finesse, je prit dans mes mains une arme grossière utilisées habituellement par les chasseurs, c'est à dire mes boleadoras.
Majestueusement, je fis tournoyer les trois boules au dessus de ma tête avant de lâcher le tout sur la fameuse Hortense. J'avais projeté l'arme avec tellement de violence que la jambe de la joillaumage se brisa sous l'impact. Un profond rire sadique retentit dans ma gorge quand j'entendis son cri de douleur et sa voix paniquée qui hurla le nom de sa consoeur. Heureusement pour nous, l'atelier qui était situé au sous-sol, couvrait en partie le son de sa voix, mais pour faire taire l'impudente, je pris mon fouet. D'un mouvement souple du poignet je le fis claquer sur son front. Une plaie sanguinolente apparue, le précieux liquide s'en échappait déjà et coulait dans ses yeux.
L'abjecte créature se tourna vers moi et d'un air de défit frôlant la décadence, me cria :
- Tu n'obtiendras jamais rien de moi, sale truie ! Que se soit ma richesse, mes biens ou même ma vie !
Puis elle continua à proférer des injures de plus en plus insultantes à mon égard, se faisant véritablement un plaisir de ne viser que moi malgré la présence flagrante de Dextra à mes cotés. Oui, je comprenais mieux maintenant ce qu'il entendait par là quand il m'avait parlé de sa légendaire misogynie...
Alors ce monstre, que dis-je ! cette pure dégénérescence osais m'attaquer de front?! Je m'approcha d'elle et, avec brutalité, posa mon talon sur sa jambe déjà cassée en y appuyant le plus fort possible. Un craquement sinistre se fit entendre et avant qu'elle ait le temps de hurler je lui enfonça mon foulard profondément dans la bouche, et, le maintenant fermement de mes mains, lui cria à mon tour avec élégance et courtoisie:
- LA FERME IMMONDICE !!
Puis je lui administra une gifle phénoménale. Le sang qui gouttait de son front éclaboussa le mur de droite. Elle suffoqua et se laissa glisser au sol, tant la douleur que je lui avais infligée était intense. Au moins, mon geste avait-il eut l'effet escompté. Un bienfaisant silence se répandit. Je repris néanmoins la parole :
- Je n'ai que faire de tes richesses, et ne t'inquiète pas pour ta vie va ! Je m'occuperais de toi bien assez tôt sale monstre ! Ton cadavre mérite de pourrir en enfer, mais je vais t'en donner un avant goût...
Un sourire moqueur fendit mon visage. Je repris prestement :
- C'est de tes savoirs dont il est question... Et plus précisément sur les joyaux que tu aimes manipuler toute la journée dans ce taudis dégoûtant ! ... Es-tu disposée à répondre maintenant ?
Elle tourna la tête, et je lui enleva le foulard de la bouche pour qu'elle puisse me parler. L'effrontée essaya de me mordre la main ! La tension monta d'un cran. Ma rage n'avait d'égale que sa stupidité. J'étais décidément très tentée de la tuer sur le champs.
Mais cela ne servirait pas les intérêt de mon roi, et il m'était plus impensable encore de le décevoir...
Je pris un scalpel caché dans un replis de mon justaucorps de cuir et le plaça sous l'oeil d'Hortense.
- Tu y tiens à cet oeil ? Non vraiment j'insiste, tu en as vraiment besoin ? Tiens regarde cet homme là-bas, il vit très bien avec ce handicap, mais toi, sauras-tu le supporter ? Car il y a une alternative à tout cela, et tu la connais, Oh oui ! Tu la connais même très bien !
Et tout en continuant ce monologue, j'agitai le scalpel sous le nez de la joillaumage qui écarquillait les yeux de frayeur. Elle secoua énergiquement la tête et tenta de parla malgré le foulard qui l'en empêchait. Je le lui retira une nouvelle fois et attendis qu'elle retrouve son souffle.
- Arrête, je t'en supplie, je te dirais tout ce que tu veux entendre...
Je me tourna vers Dextra, un sourire triomphant, et lui dit :
- Elle est tout à toi mon cher.
Ma mission n'étant pas de faire dans la finesse, je prit dans mes mains une arme grossière utilisées habituellement par les chasseurs, c'est à dire mes boleadoras.
Majestueusement, je fis tournoyer les trois boules au dessus de ma tête avant de lâcher le tout sur la fameuse Hortense. J'avais projeté l'arme avec tellement de violence que la jambe de la joillaumage se brisa sous l'impact. Un profond rire sadique retentit dans ma gorge quand j'entendis son cri de douleur et sa voix paniquée qui hurla le nom de sa consoeur. Heureusement pour nous, l'atelier qui était situé au sous-sol, couvrait en partie le son de sa voix, mais pour faire taire l'impudente, je pris mon fouet. D'un mouvement souple du poignet je le fis claquer sur son front. Une plaie sanguinolente apparue, le précieux liquide s'en échappait déjà et coulait dans ses yeux.
L'abjecte créature se tourna vers moi et d'un air de défit frôlant la décadence, me cria :
- Tu n'obtiendras jamais rien de moi, sale truie ! Que se soit ma richesse, mes biens ou même ma vie !
Puis elle continua à proférer des injures de plus en plus insultantes à mon égard, se faisant véritablement un plaisir de ne viser que moi malgré la présence flagrante de Dextra à mes cotés. Oui, je comprenais mieux maintenant ce qu'il entendait par là quand il m'avait parlé de sa légendaire misogynie...
Alors ce monstre, que dis-je ! cette pure dégénérescence osais m'attaquer de front?! Je m'approcha d'elle et, avec brutalité, posa mon talon sur sa jambe déjà cassée en y appuyant le plus fort possible. Un craquement sinistre se fit entendre et avant qu'elle ait le temps de hurler je lui enfonça mon foulard profondément dans la bouche, et, le maintenant fermement de mes mains, lui cria à mon tour avec élégance et courtoisie:
- LA FERME IMMONDICE !!
Puis je lui administra une gifle phénoménale. Le sang qui gouttait de son front éclaboussa le mur de droite. Elle suffoqua et se laissa glisser au sol, tant la douleur que je lui avais infligée était intense. Au moins, mon geste avait-il eut l'effet escompté. Un bienfaisant silence se répandit. Je repris néanmoins la parole :
- Je n'ai que faire de tes richesses, et ne t'inquiète pas pour ta vie va ! Je m'occuperais de toi bien assez tôt sale monstre ! Ton cadavre mérite de pourrir en enfer, mais je vais t'en donner un avant goût...
Un sourire moqueur fendit mon visage. Je repris prestement :
- C'est de tes savoirs dont il est question... Et plus précisément sur les joyaux que tu aimes manipuler toute la journée dans ce taudis dégoûtant ! ... Es-tu disposée à répondre maintenant ?
Elle tourna la tête, et je lui enleva le foulard de la bouche pour qu'elle puisse me parler. L'effrontée essaya de me mordre la main ! La tension monta d'un cran. Ma rage n'avait d'égale que sa stupidité. J'étais décidément très tentée de la tuer sur le champs.
Mais cela ne servirait pas les intérêt de mon roi, et il m'était plus impensable encore de le décevoir...
Je pris un scalpel caché dans un replis de mon justaucorps de cuir et le plaça sous l'oeil d'Hortense.
- Tu y tiens à cet oeil ? Non vraiment j'insiste, tu en as vraiment besoin ? Tiens regarde cet homme là-bas, il vit très bien avec ce handicap, mais toi, sauras-tu le supporter ? Car il y a une alternative à tout cela, et tu la connais, Oh oui ! Tu la connais même très bien !
Et tout en continuant ce monologue, j'agitai le scalpel sous le nez de la joillaumage qui écarquillait les yeux de frayeur. Elle secoua énergiquement la tête et tenta de parla malgré le foulard qui l'en empêchait. Je le lui retira une nouvelle fois et attendis qu'elle retrouve son souffle.
- Arrête, je t'en supplie, je te dirais tout ce que tu veux entendre...
Je me tourna vers Dextra, un sourire triomphant, et lui dit :
- Elle est tout à toi mon cher.
- Boleadoras:
- Tenue actuelle de Sadi-chan, avec en plus une cape pour cacher tout ça bien sur x) :
Dernière édition par Sadi-chan le Jeu 17 Mai - 19:34, édité 1 fois
Sadi-chan- Humaine-Guerrière-Responsable des interrogatoires
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Re: Le tour du monde dernière partie [PV: Sadi-chan]
- Elle est tout à toi mon cher.
-Je te remercie ma très chère.
Comme toujours, elle avait réussi à tirer les vers du nez de notre pauvre victime. Je débarrassas soigneusement la table de travail et m'assit nonchalamment. Un petit sourire innocent se posa sur mon visage. Mon ton se voulait calme et conciliant.
-Voyons il ne faut pas s'énerver comme cela. C'est mauvais pour les affaires. Bien. Je voudrais savoir comment intégrer une pierre précieuse dans une arme.
-Une pierre dans une arme ?!
-Ne m'oblige pas à me répéter !
-Je ne vois pas de quoi tu parles...
-Sûre ? Sadi-chan ? Je crois bien que finalement, elle ne veut pas de son œil...
Je vis Sadi-chan s'approcher avec un magnifique sourire pervers et armée de son scalpel. Une terreur indescriptible se peignit sur la face d'Hortense. Elle commença à se débattre furieusement, beuglant à s'arracher les poumons. Alors que la lame allait s'enfoncer dans sa pommette, elle capitula.
-Alors ?
-Je...OK. Mais par pitié, éloignez cette folle ! Tout d'abord, comme ton petit cerveau doit l'avoir comprit, nous utilisons la magie pour fixer les joyaux aux armes. Au moment de donnera la forme de l’arme, il faut l'intégrer à ce moment en récitant une ancienne incantation.
Elle regarda d'un œil noir Sadi-chan et me fit signe de m'approcher. Elle me murmura un autre secret. Qui d'ailleurs allait bien m'aider.
-Bien je te remercie de ta coopération. à présent, sois sage et laisse ma chère collègue t'arracher un oeil. Et si tu es sage elle t'enlèvera peut-être l'autre
Cette stupide créature se remit à beugler. Au plus grand bonheur de Sadi-chan.
[Bon bha Sadi puis Alya]
-Je te remercie ma très chère.
Comme toujours, elle avait réussi à tirer les vers du nez de notre pauvre victime. Je débarrassas soigneusement la table de travail et m'assit nonchalamment. Un petit sourire innocent se posa sur mon visage. Mon ton se voulait calme et conciliant.
-Voyons il ne faut pas s'énerver comme cela. C'est mauvais pour les affaires. Bien. Je voudrais savoir comment intégrer une pierre précieuse dans une arme.
-Une pierre dans une arme ?!
-Ne m'oblige pas à me répéter !
-Je ne vois pas de quoi tu parles...
-Sûre ? Sadi-chan ? Je crois bien que finalement, elle ne veut pas de son œil...
Je vis Sadi-chan s'approcher avec un magnifique sourire pervers et armée de son scalpel. Une terreur indescriptible se peignit sur la face d'Hortense. Elle commença à se débattre furieusement, beuglant à s'arracher les poumons. Alors que la lame allait s'enfoncer dans sa pommette, elle capitula.
-Alors ?
-Je...OK. Mais par pitié, éloignez cette folle ! Tout d'abord, comme ton petit cerveau doit l'avoir comprit, nous utilisons la magie pour fixer les joyaux aux armes. Au moment de donnera la forme de l’arme, il faut l'intégrer à ce moment en récitant une ancienne incantation.
Elle regarda d'un œil noir Sadi-chan et me fit signe de m'approcher. Elle me murmura un autre secret. Qui d'ailleurs allait bien m'aider.
-Bien je te remercie de ta coopération. à présent, sois sage et laisse ma chère collègue t'arracher un oeil. Et si tu es sage elle t'enlèvera peut-être l'autre
Cette stupide créature se remit à beugler. Au plus grand bonheur de Sadi-chan.
[Bon bha Sadi puis Alya]
Dextra Noctibule- Mort (inactif)
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Re: Le tour du monde dernière partie [PV: Sadi-chan]
Mon scalpel dans une main, la tignasse de la joillaumage dans l'autre, j'enfonça vivement l'instrument dans son oeil droit jusqu'à sectionner le nerf optique.
Le globe occulaire tomba avec un bruit caractéristique *PLOP* et roula au sol.
Elle poussa un cri démentiel. Son corps était parcouru de spasmes frénétiques, on aurait dit une aliénée essayant de s'échapper de sa camisole. Du sang coula abondamment du trou béant. Elle pleurait avec l'oeil qui lui restait, ses larmes inondant son visage et tracant un sillon noir sur sa joue, là où le maquillage coulait. Puis aussi soudainement qu'elle s'était mise à brailler, elle s’arrêta.
J'avais le désir fou de la faire souffrir davantage, d'entendre encore ses cris résonner dans mes oreilles... Pourtant, lorsque j'attrapa son bras pour l'aider à se lever, contrairement à ce que je m'attendais, elle n'eut aucune réaction. Je le laissa retomber mollement le long de son corps. Son regard lointain m'interpella. Elle réagissait comme toutes ces victimes ayant subies un choc psychologique brutal, c'est à dire en se refermant sur elle-même et en se coupant du monde extérieur. Je passa ma main devant ses yeux amorphes. Elle ne cilla pas. Même si son oeil intact continuait de pleurer, son esprit était ailleurs... Je l'avais brisé. Un peu trop vite je dois l'admettre. J'étais frustrée de ne pas avoir pu déverser toute ma colère sur cette lycan avant de devoir la tuer, mais maintenant il était trop tard. Je me releva et rageusement donna un coup de pied dans le sternum de la louve, qui tomba au sol, atone.
- Cette imbécile est un vrai légume ! Je suis obligée de l'achever maintenant, elle ne nous sert plus à rien.
Je me pencha et descendit un petit cran situé au niveau de ma chaussure. Une lame très fine sortit du talon. Puis je plaça mon pied au dessus de son corps inerte. Son regard étant obstinément tourné vers le plafond, je me mis dans son champ de vision, et lui murmura :
- Rejoins tes pairs en Enfer, immondice !
Ma lame s'enfonça profondément jusqu'au coeur. J'en sentis les derniers battements avec délectation et poussa un soupir de bien être en même temps qu'Hortense rendait l'âme. Certes je n'avais pas pu jouer longtemps avec elle mais elle était morte, et l'anéantissement complet de cette race dégénérée était ma priorité.
J'essuya ma lame avec soin sur les vêtements du cadavre et la rangea grâce au même mécanisme qui l'avait fait sortir. Enfin je pris mon sac que j'avais posé en entrant, prête à sortir à la suite de Dextra, quand la porte s'ouvrit à la volée...
Le globe occulaire tomba avec un bruit caractéristique *PLOP* et roula au sol.
Elle poussa un cri démentiel. Son corps était parcouru de spasmes frénétiques, on aurait dit une aliénée essayant de s'échapper de sa camisole. Du sang coula abondamment du trou béant. Elle pleurait avec l'oeil qui lui restait, ses larmes inondant son visage et tracant un sillon noir sur sa joue, là où le maquillage coulait. Puis aussi soudainement qu'elle s'était mise à brailler, elle s’arrêta.
J'avais le désir fou de la faire souffrir davantage, d'entendre encore ses cris résonner dans mes oreilles... Pourtant, lorsque j'attrapa son bras pour l'aider à se lever, contrairement à ce que je m'attendais, elle n'eut aucune réaction. Je le laissa retomber mollement le long de son corps. Son regard lointain m'interpella. Elle réagissait comme toutes ces victimes ayant subies un choc psychologique brutal, c'est à dire en se refermant sur elle-même et en se coupant du monde extérieur. Je passa ma main devant ses yeux amorphes. Elle ne cilla pas. Même si son oeil intact continuait de pleurer, son esprit était ailleurs... Je l'avais brisé. Un peu trop vite je dois l'admettre. J'étais frustrée de ne pas avoir pu déverser toute ma colère sur cette lycan avant de devoir la tuer, mais maintenant il était trop tard. Je me releva et rageusement donna un coup de pied dans le sternum de la louve, qui tomba au sol, atone.
- Cette imbécile est un vrai légume ! Je suis obligée de l'achever maintenant, elle ne nous sert plus à rien.
Je me pencha et descendit un petit cran situé au niveau de ma chaussure. Une lame très fine sortit du talon. Puis je plaça mon pied au dessus de son corps inerte. Son regard étant obstinément tourné vers le plafond, je me mis dans son champ de vision, et lui murmura :
- Rejoins tes pairs en Enfer, immondice !
Ma lame s'enfonça profondément jusqu'au coeur. J'en sentis les derniers battements avec délectation et poussa un soupir de bien être en même temps qu'Hortense rendait l'âme. Certes je n'avais pas pu jouer longtemps avec elle mais elle était morte, et l'anéantissement complet de cette race dégénérée était ma priorité.
J'essuya ma lame avec soin sur les vêtements du cadavre et la rangea grâce au même mécanisme qui l'avait fait sortir. Enfin je pris mon sac que j'avais posé en entrant, prête à sortir à la suite de Dextra, quand la porte s'ouvrit à la volée...
Sadi-chan- Humaine-Guerrière-Responsable des interrogatoires
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Re: Le tour du monde dernière partie [PV: Sadi-chan]
Nous allions sortir quand la porte s'ouvrit avec fracas. La vendeuse déboula dans la petite salle et voyant sa patronne raide morte, elle beugla:
-Oh par tout les dieux ! J'ai entendu du bruit et voilà que...
Son horrible voix m'agressa les tympans et l'information ne mit qu'un millième de seconde pour parvenir à mon cerveau. Je lui balança de toute mes forces mon poing dans sa face. Je sentis avec satisfaction son nez et une bonne partie de son crâne craquer. Elle alla s'écraser contre le mur et glissa lourdement sur le sol à demi-sonnée. Je sortis de mon parchemin un petit poignard et m'approcha d'elle. Je lui susurra à l’oreille:
-Je me demande comment vas-tu trouver un travail avec un si beau sourire...
à l'aide de deux doigts, je lui ouvris la bouche et je trancha sa joue droite en formant un joli demi-sourire. Elle tenta vainement de crier ce qui me motiva encore plus pour lui faire la symétrie. Satisfait je recula et admira mon travail. Un énorme sourire ensanglanté se trouvait à l'endroit où se trouvait sa bouche. "C'est étonnant comme une si petite blessure peut faire couler autant de sang. Résultat elle s'est évanouie ..."
D'un accord tacite, nous nous sommes remis en route. Un long chemin nous attendait. Deux clients attendaient patiemment que la vendeuse revienne.
Je m'approcha lentement en cachant soigneusement ma dague dans mon dos.
-Désolé pour l'attente, mais je crois qu'elle est très occupée...
En une fraction de seconde, ma lame s'enfonça dans la gorge de la jeune femme. Je ne me préoccupa pas de l'autre; Sadi s'en était chargé. Avant de sortir je mis le panneau "ouvert" en position "fermé". Cette fois-ci nous repartîmes tranquillement, souriant même aux gardes.
-Oh par tout les dieux ! J'ai entendu du bruit et voilà que...
Son horrible voix m'agressa les tympans et l'information ne mit qu'un millième de seconde pour parvenir à mon cerveau. Je lui balança de toute mes forces mon poing dans sa face. Je sentis avec satisfaction son nez et une bonne partie de son crâne craquer. Elle alla s'écraser contre le mur et glissa lourdement sur le sol à demi-sonnée. Je sortis de mon parchemin un petit poignard et m'approcha d'elle. Je lui susurra à l’oreille:
-Je me demande comment vas-tu trouver un travail avec un si beau sourire...
à l'aide de deux doigts, je lui ouvris la bouche et je trancha sa joue droite en formant un joli demi-sourire. Elle tenta vainement de crier ce qui me motiva encore plus pour lui faire la symétrie. Satisfait je recula et admira mon travail. Un énorme sourire ensanglanté se trouvait à l'endroit où se trouvait sa bouche. "C'est étonnant comme une si petite blessure peut faire couler autant de sang. Résultat elle s'est évanouie ..."
D'un accord tacite, nous nous sommes remis en route. Un long chemin nous attendait. Deux clients attendaient patiemment que la vendeuse revienne.
Je m'approcha lentement en cachant soigneusement ma dague dans mon dos.
-Désolé pour l'attente, mais je crois qu'elle est très occupée...
En une fraction de seconde, ma lame s'enfonça dans la gorge de la jeune femme. Je ne me préoccupa pas de l'autre; Sadi s'en était chargé. Avant de sortir je mis le panneau "ouvert" en position "fermé". Cette fois-ci nous repartîmes tranquillement, souriant même aux gardes.
Dextra Noctibule- Mort (inactif)
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Re: Le tour du monde dernière partie [PV: Sadi-chan]
D'un commun accord nous nous élançâmes chacun sur l'une des cliente qui attendaient dans la petite boutique de la joillaumage. Je considérais cette mission comme pleinement réussie et avais tellement hâte de retourner au château que l'irritation me gagna et me remplit d'une ardeur nouvelle... Et féroce. Autant ne pas faire dans la dentelle.
Tandis que Dextra s'acharnait sur sa proie avec autant de délicatesse qu'un boucher attelé à dépecer une truie (ladite truie s'étant d'ailleurs mise à brailler avec animosité), j'asséna un coup d'une précision étonnante vu la ferveur qu'avait mise ma proie pour tenter de s'échapper. Ce qui je le rappelle est totalement inutile, vu que dans 99% des cas je les rattrapais. Toujours. S'en était lassant d'ailleurs, quand diable y aurait-il enfin une personne sur amaranth digne de me résister ?!
J'entendis un faible gémissement au sol, qui me sortit de ma transe.
Laissant là mes réflexions pour me concentrer sur ma victime qui se tortillait de douleur à mes pieds suite au choc monumental que je lui avait administré à la nuque, je l'empoigna par le col avec brutalité et la souleva pour la remettre debout.
Elle me faisait face, pauvre créature, si faible qu'elle chancela sous son propre poids et se couvrit les yeux de sa main !
Son étourdissement me laissa le temps d'attraper dans ma valise à jouets un tournevis aiguisé en pointe, que j'enfonça alors avec vivacité dans son oreille droite.
Un RAAaaack lugubre retentit, et je sentis que mon instrument s'enfonçait dans son cerveau comme du beurre.
En le retirant, un mince filet de sang se mit à couler, qui se transforma peu à peu en flot abondant éclaboussant le sol de flaques écarlates aux reflets macabres.
Ses yeux se révulsèrent et sa bouche s'ouvrit pour pousser un cri strident. Elle tomba lourdement à terre en convulsant et ne mit que quelque secondes à mourir, après quoi je me retourna et observa le chef d'oeuvre de mon ami Dextra...
Mmmmmmmmmmh ! Très artistique. Puis nous partîmes tout deux, à une allure modérée en franchissant sans problèmes les portes de Gildaron.
Tandis que Dextra s'acharnait sur sa proie avec autant de délicatesse qu'un boucher attelé à dépecer une truie (ladite truie s'étant d'ailleurs mise à brailler avec animosité), j'asséna un coup d'une précision étonnante vu la ferveur qu'avait mise ma proie pour tenter de s'échapper. Ce qui je le rappelle est totalement inutile, vu que dans 99% des cas je les rattrapais. Toujours. S'en était lassant d'ailleurs, quand diable y aurait-il enfin une personne sur amaranth digne de me résister ?!
J'entendis un faible gémissement au sol, qui me sortit de ma transe.
Laissant là mes réflexions pour me concentrer sur ma victime qui se tortillait de douleur à mes pieds suite au choc monumental que je lui avait administré à la nuque, je l'empoigna par le col avec brutalité et la souleva pour la remettre debout.
Elle me faisait face, pauvre créature, si faible qu'elle chancela sous son propre poids et se couvrit les yeux de sa main !
Son étourdissement me laissa le temps d'attraper dans ma valise à jouets un tournevis aiguisé en pointe, que j'enfonça alors avec vivacité dans son oreille droite.
Un RAAaaack lugubre retentit, et je sentis que mon instrument s'enfonçait dans son cerveau comme du beurre.
En le retirant, un mince filet de sang se mit à couler, qui se transforma peu à peu en flot abondant éclaboussant le sol de flaques écarlates aux reflets macabres.
Ses yeux se révulsèrent et sa bouche s'ouvrit pour pousser un cri strident. Elle tomba lourdement à terre en convulsant et ne mit que quelque secondes à mourir, après quoi je me retourna et observa le chef d'oeuvre de mon ami Dextra...
Mmmmmmmmmmh ! Très artistique. Puis nous partîmes tout deux, à une allure modérée en franchissant sans problèmes les portes de Gildaron.
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