Une rencontre des plus étrange ( Dextra Noctibule- Délheya)

La nuit était tombé. Seule la lune éclairé les rues de Imalnel. Elle était sans étoiles cette nuit. Toutes le maisons était silencieuses, seuls les miaulements d'un chat perdu trouble cette tranquilité. Tranquilité ? Non une sorte de tension sourde règnait , ça doit être a cause de la présence qui se glisse furtivement dans les rues, évitant les zones de luimères. On dirait une sorte de jeu entre l'ombre et la lune Mais la lune étends sa lumière partout, mais l'ombre est rapide. Enfin l'ombre s’arrêta et la lune, la prenant par surprise, l'éclaira. C'était une femme, une jeune femme. On dirait une elfe mais aucun elfe n'a de canines ni les oreilles aussi petites. Elle s'était arretée devant une grande maison luxueuse. Le portail était fermé mais se ne la gênait pas elle l'escalade comme une simple échelle s'aidant des décorations comme des échelons. Arriver au sommet elle elle sauta sur la pelouse atterrissant a 4 pattes comme un chat. La jeune femme s'immobilisa guettant le moindre bruit suspect trahissant la présence d'un quelconque gardien. Elle n’entendait que le bruit de sa propre respiration. Confiante elle avança sur la pelouse. La chambre de sa victime se trouvait au premier étage. Évitant l'erreur de base qui était de passer par la porte d'entrée elle examina la façade. Du lierre grimpait sur tout le mur mais il était loin des fenêtres. En regardant un peu plus elle vit qu'une toute petite corniche courait le long du mur dans toute sa longueur C'était suffisant.

Le lierre accrochait bien et elle put grimper sans difficulté. La corniche était vraiment mince, la jeune acrobate se colla autant quelle put au mur et commença a avancer. Un pied après l'autre, tout doucement, elle approcha e la fenêtre. La chance était avec elle la fenêtre était ouverte. Ce qui était normal puisque la chaleur avait été écrasante pendant la journée et beaucoup d'habitants avaient ouvert leur fenêtres pour faire entrée un peu d'air frais.La jeune femme ouvrit tout doucement la fenêtre qui avait été ( grâce au ciel ^^) soigneusement huilée et se glissa dans la chambre. Un homme dormait dans un grand lit. Elle lui trancha la gorge et repartit en sens inverse. Cependant elle ne relâcha sa tension qu'une fois le portail loin derrière elle . La tueuse respira enfin. Sa mission avait été simple et rapide et l'ordonnateur la paierait grassement. C'était tout ce qu'il fallait! Elle se balada dans les rues silencieuse profitant de solitude si reconfortante...

Cela faisait longtemps que je n'avais pas pris le temps de chasser la vermines dans les magnifiques rues de mon pays. Cette guerre m'enrichissait mais elle m’empêchait aussi de profiter de mon statut privilégié. Fournisseur de l'armée, je bénéficie du droit de chasser, ou plutôt de tuer les ennemis de l'état. Par ailleurs, c'était la nuit que ces infâmes créatures venaient tuer nos malheureux citoyens. C'est avec une certaine joie que je vis une de ces satanés elfes. Les Elfes. De toute ces races, c'était eux les pires. Les lycans, les vampires et les animorphes étaient à la base des humains ayant subis des transformation. Mais les elfes, eux, n'avaient rien d'humain ! Il sont complètement différents de nous !
Je me rapprocha discrètement d'elle et sortis mon rouleau de parchemin. Bien qu'il était d'origine elfe, j'affectionnait ce morceau de papier. Son défunt propriétaire l'avait comment disent-ils ces sauvages ? à oui. Il l'avait enchanter pour faire apparaître n'importe quel arme d'un endroit. Bel aubaine pour moi qui suis marchand d'armes !

-Elfe ! Regarde la justice s'abattre sur toi !

En même temps que je m'adressais à cette créatures, je plongea ma main dans le papier comme s'il s'agissait d'un feuille d'eau liquide. Je ressorti une hache que j'envoya de toute mes forces vers la chose.

Cette pimbêche avait osé m'adressé la parole ! Ces êtres inférieurs ne méritaient pas de savoir parler. Les animaux ne doivent pas parler, c'est une règle immuable de la nature !

-Silence misérable créature ! Ton existence même est une insulte à la nature ! Mais ne t'inquiète donc pas*sourire effrayant d'un fou regardant sa victime* je vais de ce pas arranger cela.

J'avais devant moi un hybride. comment ces abominations pouvaient se reproduire entre elles ? Leur manière de porcs dépassait l'entendement. Nous, humains, avons le devoir d'exterminer jusqu'aux derniers ces êtres !
Tout en marchant, je sortais des armes en tout genre que je propulsais vers la femelle. Mon échoppe contait à peu près 5000 armes diverses. Autant dire que je ne tomberais pas à court de munitions...

-Silence misérable créature ! Ton existence même est une insulte à la nature ! Mais ne t'inquiète donc pas
Il souriait d'une manière qui déplaisait beaucoup a Délheya. Elle détestait que les personne se croit supérieur par leur race !
-Je vais de ce pas arranger cela.
Tout en marchant d'un pas assuré il sortait toutes sorte d'armes d'un parchemin elfique ( elfique et ils me traite de misérable creature !! on aura tous vu ! ) et les lancait sur elle. Pour éviter de toutes se les prendre sur la tête la jeune femme se jeta a terre et roula sur le coté Elle ne pouvait laisser un homme raciste qui apparemment avait une boutique d'armes illimité vivre tranquillement ! Peut-être qu'elle ne le tuerai pas mais elle fera en sorte qu'il se rappelle d'elle. Elle ne pouvait l'attaquer de front car il pouvait l'embrocher tranquilement, Délheya décida donc de le provoquer :

- Mais dits-moi ce n'est pas d'un parchemin elfique que tu retire tes armes ? Et tu oses me traiter de... " misérable créature" ! ah mais ton ego est bien trop grand !!

Elle approcha doucement tout en parlant. Il le remarquera mais elle gagnait du temps.

- Mon petit il faut que tu redescendes sur terre ! Tu n'es pas ne droit de haïr les elfes alors que tu utilises une de leur création !

Alors comme ça elle n'avait pas peur ? Cela ne rendrai ma tuerie que plus jouissive. Elle rejoindra tôt ou tard mon musée...

-*d'un rire machiavélique* Bien sûr que je vous déteste. Mais n'est-ce pas plus jouissif que d'utiliser une création elfique pour tuer des elfes ? Tu ne peux pas imaginer la joie que j'ai éprouvé en arrachant des mains ce petit bijou. Il suppliait d’épargner la vie de sa famille. Bien sûr je lui promis... Et je plongeais gaiement mon épée dans les petits corps de ses enfants. Mouhahaha ! Je me languissais de sa tête. Elle exprimé le désespoir et la rage. C'était... magnifique !

Tout ces souvenirs me redonnèrent une nouvelle énergie. Je cessa de lancer toute mes armes et pris une longue épée fine. Elle était tant aiguisée, qu'elle pouvait couper une goutte d"eau.

-Maintenant sois gentil et laisse toi transformer en passoire ! Mouahahaha !

Je lui fonça dessus et abattu mon épée droit vers son bras droit.

Ma folie meurtrière anesthésia la douleur, ne la transformant qu'en une vulgaire blessure. Je sentais encore mon épaule. C'était bon signe.

-Sale garce ! Tu pourriras en enfer !

Je connaissait mes armes par coeur. Aussi bien celle que je vendais, que le parchemin qui se trouvait dans ma main. J'appuya sur ma blessure de sorte que ma main soit entièrement recouverte des sang. "Rapide hein ? Nul besoin si mes lames sont nombreuses ! Même si elle est agile et peut se téléporté elle ne pourra pas esquiver la magie corrompu !" . Je badigeonna le parchemin je mon sang. J'invoquais la tempête des milles lames. Je sentais le sol tanguais sous moi mais je n'en étais pas à mon premier essai. Le sol trembla. Tout à coup, toute sortes d'armes tranchantes sortirent et se mirent à tourbillonner autour de moi. Le cercle grandi puis d'un coup elles furent toute projetées dans toutes les directions. Ce coup-ci, je pus voir deux lame s'enfoncer dans mon adversaire. Je ne savais pas où exactement. Je tentais de me relevais sans succès. Les lumières des maisons s'allumèrent et un homme se mit à crier :

-Une intrus, une intrus ! Tous aux armes !
-*dans un cri de rage* Non !!! C"est ma proie ! Vous n'av...

J'avais perdu trop de sang. Son coup avait été puissant et précis. Peu à peu, mes paupières se fermèrent.

Toujours pérchée sur le toit Délheya vit l'homme guérir rapidement
-Sale garce ! Tu pourriras en enfer !

Il prit son parchemin et le recouvrit de son sang. Intrigué la jeune femme pencha la tête sur le coté et s'approcha un peu. Un tas d'armes aux lames plus aiguisées les unes que les autres apparurent et tournèrent autour de lui. Puis sans crier gare elles volèrent dans toutes les directions. Elle voulut y échapper en créant un portail mais sa magie ne fonctionnait pas comme si les épée annulait sa magie. Elle recula précipitamment et voulut se mettre a l'abri mais sans sa magie elle ne pouvait faire grand chose. Une première lui blessa profondément le bras et, deux secondes plus tard, une deuxième la stoppait net dans son élan en lui blessant gravement la jambe.
La douleur était tellement forte qu'elle dut s’arrêter pour reprendre son souffle. Elle ne sentait plus ni sa jambe ni on bras. Le sang coulait abondamment et elle dut se retenir pour ne pas le sucer l'odeur était si alléchante ! Seulement c'était SON sang et si elle le buvait c'était elle qui en pâtirait. La jeune femme s’arrêta dans une petite ruelle déserte et s’appuya contre le mur en faisant un garrot a sa jambe. Elle reprit son souffle le temps que le sang arrête de couler. Quand Délheya eut repris un peu de son énergie, la jeune femme créa un portail spatio-temporel plutôt faible mais suffisant pour qu'elle puisse réapparaitre dans le refuge où elle dormait dans cette ville.

Je me réveilla en sursauts. Tout mon corps était en sueur. Bientôt, une douleur fulgurante scia mon épaule. Je regarda autour de moi. J'étais dans une maison inconnue. Le style m'indiqua sur-le-champ qu'il s'agissait d'une demeure humaine. Je me laissa tomber sur mes oreillers. "Ainsi donc j'ai perdu contre une de ces vermines... Je sens que je vais vomir. Elle ne s'en tira pas comme ça. J'en fais le serment. Je la pourchasserais jusqu'à laver mon honneur bafoué par cette garce !" Je gémis de douleur. Elle avait osé m'attaquer avec une de mes propres armes. En même temps que je pensais cela, je ne pus m'empêcher de penser que mes armes étaient d'une grande qualité. Une femme s'approcha de mon lit.

-Bon retour parmi les vivants monseigneur. Nous sommes toujours entrain de retirer les armes plantés dans les murs. Un témoin affirme qu'elles vous appartiennent.
-*d'un ton charmant et enchanté* Oui effectivement elle m’appartiennent. Je suis Dextra Noctibule, directeur de l'armurie Noctibule.

Nous continuâmes à bavarder gaiement. Cependant, mes pensées restèrent fixées sur mes objectifes de destruction des autres races.

Note: fini pour moi ^^